I have a dream ! Et vous ?

I have a dream ! Sinon comme petit phrase intéressante, j’ai Raiponce “moi j’ai un rêve” … charmante petite chanson qui reste bien en tête. Rien de comparable avec le désormais très célèbre “libéréééée, délivrééée”. Voila vous me détestez 🙂

Je suis effectivement capable de passer de Martin Luther King à Disney, oui oui. Vous êtes prévenus.

 


Sinon des rêves, j’en ai. En fait j’en ai plusieurs. Des rêves j’en ai plein la tête. Ça n’arrête pas là-haut. A croire que j’ai une vraie usine à rêves, idées, projets…la grève, ils ne connaissent pas ! Et ce qui m’éclate le plus, c’est de les réaliser. Ça donne une satisfaction et une joie incomparable.



 

Parce que des rêves, on en a tous. Vraiment. Mais comme dit Tony Robbins (et pourtant je ne suis clairement pas une fan du personnage) What makes most people just dreamers versus those who live the dream is that dreamers have never figured out the price of their dreams. Ça c’était pour les anglophones.

Je suis bien meilleure pour lire l’anglais dans le texte que pour traduire (d’ailleurs hier j’étais au cinéma, film en vo, j’ai pensé anglais jusqu’à ce que je me mette ce matin devant mon ordinateur). L’idée de T.Robbins est la suivante : Ce qui fait que la plupart des gens sont juste des rêveurs en comparaison de ceux qui vivent leur rêves, c’est que les rêveurs n’ont jamais pris le temps de savoir comment coûtent leurs rêves.


Je vais prendre quelques exemples.

Les voyages – ça tombe bien, j’adore ça. J’entends très souvent, quasiment à chaque voyages “oh tu as de la chance”. Je ne vous raconte même pas quand j’ai dit que je partais avec ma valise, seule en Australie et advienne que pourra.

J’ai toujours été surprise, même si je me suis prise la main dans le sac à dire pareil. En fait j’ai plutôt tendance à penser “la chance d’avoir pensé à cette destination” ! Mais la plupart des gens, pensent vraiment “elle a de la chance de voyager”, “elle a de la chance d’aller à Dubai/Istanbul/New-York/Londres/Australie…”.

En général je les arrête et je commence gentiment à expliquer que la chance n’a strictement rien à voir la dedans et qu’eux aussi peuvent voyager si c’est réellement quelque chose qui les fait rêver.

Mon interlocuteur tend alors l’oreille et nous commençons une petite discussion sur comment je m’organise, comment je répartis mon budget pour m’offrir des voyages aussi.

Et là … c’est le drame.

“Ah mais je ne veux pas avoir à me priver”… alors peut-être que les voyages, ce n’est pas ton rêve, ce n’est pas le truc qui te fait vraiment vibrer. Parce que lorsque l’on travaille à réaliser ses rêves, croyez moi, ce n’est absolument pas un sacrifice de mettre un peu plus de côté quitte à aller moins au restaurant, ou moins de soirées etc.


Autre petit exemple (taxez moi de bonne femme, je m’en fiche), pour mes 30 ans je rêvais de boucles d’oreilles en diamants. Rien d’extravagant non plus, des petites hein. Ce n’est pas mon style d’avoir des bouchons de carafe aux oreilles. Du coup je me suis renseignée, j’ai mis de côté pendant très longtemps et je me suis fait ce plaisir.


Là je réfléchis pour mes 35 ans. Oui oui oui.


Je reprends l’idée, je sens que je digresse sur des trucs perso.


Nous avons tous des rêves. Chacun souhaite des choses différentes, pas de jugement sur les rêves des autres.

Le truc vraiment addictif, c’est de réaliser ses rêves. C’est euphorisant. Et il se passe quelque chose d’incroyable … on a d’autres rêves qui viennent après. C’est une histoire sans fin ! Les américains ont inventé le système de la bucket list. Ils ont forcément poussé le truc à l’extrême. Selon eux, il faudrait avoir 100 objectifs de choses à réaliser dans la vie…Bon personnellement je n’en ai pas 100 et j’actualise très souvent ma petite liste de rêves à réaliser.


Donc :

  • prenez vos rêves
  • faites en une jolie petite liste
  • choisissez en 1 ou 2 que vous voudriez vraiment vraiment vraiment réaliser

Jusque là, c’est facile.


Ensuite il faut se renseigner. Combien ça coûte ? Est-ce qu’il y a des chemins de traverses pour y arriver ?

Je prends l’exemple de devenir propriétaire. Vous connaissez les tiny houses? Je trouve le concept génial (de petites maison en bois, sur roues, incroyablement bien pensées et moins onéreux qu’une maison).

Sinon je rêve d’une super garde robe. Je suis donc en train de me renseigner sur les capsules wardrobes. Je contourne la difficulté !  (voir ici pour plus d’infos, elle explique ça bien mieux que moi)


Avant-dernière étape, il faut agencer et modifier votre budget et vos dépenses plaisirs pour vous créer votre enveloppe spéciale “rêves” !

Oui, ça implique de changer certaines choses, mais pour atteindre son rêve, ça vaut le coup !

Dernière étape, vous pouvez soit ouvrir un compte spécifique pour votre rêve (les banques en ligne sont merveilleuses pour ça avec 0 frais), soit si vous êtes supers rigoureux, ajoutez une ligne / case … peu importe l’outil que vous utilisez. De faire un virement automatique des économies pour ça et de regarder le montant grossir.


En fait ce n’est pas très compliqué. Ça demande parfois du temps (j’ai 31 ans et je vous parlais de mes 35 ans plus haut) mais ça vaut vraiment la peine de le faire.

Qui a envie de se réveiller le matin de son dernier jour de vie en se disant “ah j’aurais voulu réaliser mes rêves… si j’avais su.” ? PERSONNE.


Allez réaliser vos rêves. Remettez le bonheur au centre de votre vie, c’est tellement plus agréable.


I HAVE A DREAM 2

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